JUSTICE DE COPAINS = JUSTICE DE COQUINS - 23

Publié le par serge.petitdemange.over-blog.fr

5ème, 6ème et 7ème affiches du 23 février 1998 :

Aujourd’hui

 

J’accuse

 

Madame Muriel BAUDET,

Epouse d’un conseiller prud’homal, ex gérante d’une société toulonnaise,

1.          de mon licenciement sans cause réelle et sérieuse le 24 décembre 1984, sous la bienveillante protection du statut d’élu prud’homal toulonnais de son époux,

 

2.          de chantage sous menace de licenciement d’autres employés (1)

 

3.          de subornation de témoins (1)

 

(1) Preuves écrites irréfutables, librement et consciemment établies, elles.

 

Serge PETITDEMANGE - 04.94.38.57.01

 

 

-o-

 

  

Aujourd’hui

J’accuse

 

 

M. Pierre MANTEUR, gérant de l’ex société ECOCAR à TOULON :

* d’être un escroc pour avoir volontairement fait disparaître, car il ne peut en être autrement (1) SON exemplaire de MON contrat de travail, pour prétexter ensuite que c’est moi qui le lui ai dérobé pour mieux falsifier le mien.

* d’avoir manipulé la Justice.

(1) la preuve écrite par sa concubine / secrétaire / mère de ses enfants (la même personne qui reconnaît sous serment avoir dactylographié mon contrat) se trouve dans une gendarmerie de la région.

 

P.S. :

C’est Monsieur Jean-Paul BAUDET, époux de Madame Muriel BAUDET, qui présidait les prud’hommes le 31 janvier 1994, ce qui explique beaucoup de choses…

 

Serge PETITDEMANGE - 04.94.38.57.01

 

 

                                           -o-

 

   

Aujourd’hui

J’accuse

 

 

La Justice toulonnaise : soit d’incompétence, soit d’avoir commis une faute professionnelle, pour s’être laissée manipuler par un escroc d’employeur toulonnais.

Je l’accuse d’avoir laissé traîner (volontairement ou non) une affaire capitale pour un citoyen (et sa famille à l’époque) français, qui vote, paie ses impôts, et dont le casier judiciaire est toujours vierge, malgré l’ignoble action menée par l’escroc d’employeur précité.

Au 1er janvier 1998, le manque à gagner de ce citoyen, dont la vie familiale et sociale est anéantie, se monte à plus de un million de francs.

La Justice peut « broyer » ce citoyen d’une simple décision, s’en débarrasser en quelque sorte.

Mais elle possède aussi le pouvoir de réhabiliter ce citoyen, malheureusement pas dans son entier, de part l’irréversibilité de son état.

A elle de choisir.

 

Pour ma part, le citoyen que je suis n’abandonne pas, malgré la lettre anonyme et les menaces de mort au téléphone.

 

 Serge PETITDEMANGE - 04.94.38.57.01

 

 

                                                                            -o-

 

Le 13 janvier 1998, la France célèbre le centenaire de l’ « affaire DREYFUS ».

C’est la raison pour laquelle j’ai employé le percutant mot « J’accuse ».

Mais ne s’improvise pas ZOLA qui veut.

 

 

2ème lettre anonyme, reçue le vendredi 27 février 1998.

 

 

Fac-similé joint au courriel.

 

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